Un classeur d’archives de photographe c’est toujours un peu la boite de Pandore! Quand j’avais une vingtaine d’année, j’ai passé pas mal de temps à Londres. Un jour d’août, déambulant dans la ville sous un soleil radieux, je passai devant une caserne de pompiers. Devant, posé sur le trottoir, improbable apparition, un cercueil, entr’ouvert.
Depuis quand était-il là? Pour qui et pourquoi? Toujours est-il que des passants avaient écrit dessus à la craie. On y lisait, sur le couvercle, « ya donna mess de mafia », et, plus bas, « this side up ». Et sur le flanc, « smoking can damage your health ».
Inscriptions potaches sur bois vernis…